14.3.1. La mode dans le Baroque

 
Dans le temps du Baroque il se développait une nouvelle conscience dans le domaine de la mode. Pendant la guerre de Trente Ans la mode était plutôt varié, mais maintenant il se passait un changement. Le centre de la nouvelle mode était la cour du Roi de Soleil à Paris. La mode des hommes avait pendant ce temps un coté « féminin », alors les hommes portaient des « habits de femmes ». La mode des femmes ressemblait celle de leurs idéals francais. Les habits aux débuts  du Roi de Soleil incarnaient la facilité, la liberté et ils étaient marqués par une apparence pittoresque. 
En plus il y avait des règlements: 
Ces « lois » déterminaient la mode. Comme cela, on évitait le développement de la mode et du gaspillage. Ces règlements existaient depuis le 13eme siècle. Ils étaient faits par des communes, des magistrats et des seigneurs. On voulait garder les bonnes mœurs, aider la propre industrie, se protéger des influences étrangères et de trop de luxe, mais le but principal était de garder les différences des classes. 
La mode des femmes 
Les femmes d’autrefois portaient des cols plus effilés, car le décolleté était élargi jusqu’aux épaules. La jupe des femmes ne se changeait pas beaucoup. Les femmes portaient le plus souvent des jupes en forme de cloches et des corselets avec un grand décolleté. Les manches arrivaient jusqu’aux coudes au maximum. Mais à la maison chaque femme portait un manteau de maison. 
En France et en Angleterre les femmes protégeaient le visage avec un masque, et beaucoup plus tard avec un voile. L’Italie et l’Allemagne ne se ralliaient pas à cette coutume. Autour du coup, les femmes aimaient bien se mettre un col en four, qui était appelé « petit four aux puces », parce qu’on pensait qu’il était destiné à attirer les insectes. Contrairement aux Italiennes, les femmes en Espagne, Allemagne, France et Angleterre ne montraient jamais leurs vrais cheveux. La minceur générale de la mode des femmes était soulignée par les corselets, qui étaient munis de ressort d’acier d’une longueur d’un demi-mètre. A la fin du 17eme siècle les premières « mouches » se montraient dans les visages des femmes, qui devenaient célèbres.